Intellectuels analphabètes

Par Gervais DJIDJI

Intellectuels analphabètes

Le brigandage électoral opéré par le fils du sergent-chef est condamné à l’unanimité par tout le monde entier. Même si certains intellectuels plutôt analphabètes jouent aux équilibristes en tentant une très laborieuse et harassante explication de texte. Qu’ils ne maîtrisent pas du tout. Faisant une malicieuse et tendancieuse interprétation de ceux qui fondent le code électoral, ils ne peuvent cependant s’empêcher de se taire. Or qu’est-ce qu’un intellectuel à la probité douteuse et à la moralité variable comme une figure géométrique ? Ceux qui se succèdent au chevet de la refondation gravement malade depuis le soir du 28 novembre 2010 connaissent-ils seulement la Côte d’Ivoire ? Appréhendent-ils seulement les conséquences de leurs élucubrations sur lmp-tv ? Certains sont sortis des bas-fonds des quartiers d’Abidjan n’éprouvent aucune honte ni remords de venir déblatérer leurs rancœurs et surtout les contre-vérités que leurs commanditaires leur auront fait apprendre pour les réciter comme des perruches.  Quand d’autres depuis leur pays se croient obligés d’intervenir dans un débat qu’ils gagneraient plutôt à arbitrer de façon intelligente avec la lucidité qui sied aux intellectuels qu’ils prétendent être. Seulement ces pseudo-intellectuels et ceux dont l’analphabétisme est prouvé devraient s’interroger  sur le score de leur obligé. Ce score qui constitue un véritable rejet de la politesse faite d’arrogance, d’anarchie, d’insubordination, du refus et de la reconnaissance du droit d’aînesse. En somme, un véritable chèque en blanc pour tout ce qui est licencieux. Pour être plus gentil, disons que le fils du sergent-chef a donné caution à tout ce qui a contribué à la déliquescente de la société. Là n’est pas le pire qui est la soif du pouvoir qui contraint le fils de Koudou Zêpê à s’agripper à un pouvoir que Dieu lui repris parce qu’il n’en a pas su en faire sien. Et son goût immodéré pour le sang des Ivoiriens qui ont été tués de sang-froid sans qu’une seule larme ou une minute de silence ne soit observée à chaque sortie de sa Jézabel et lui ne peuvent que conforter les Ivoiriens. Dans leur détermination à bouter le couple infernal hors du Palais. La Côte d’Ivoire ne doit pas servir de champs d’expérimentation de toutes les doctrines bizarres prônées par des intellectuels qui se prétendent tels. Et qui, même dans leur pays sont de véritables anonymes que seuls les refondateurs et la soif inextinguible du fils du sergent-chef  pour le pouvoir attirent. Comme des papillons vers la lumière. Il est clair que le pouvoir et le sang font très bon ménage pour l’attelage hybride lmp-fpi. A demain !