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La présidentielle en Côte d’Ivoire vient de livrer ses premiers résultats. Avec des tendances qui oscillent entre les candidats les plus représentatifs. Qui, indubitablement, pensent un second tour très serré pour le vrai bonheur des Ivoiriens dont nombre d’entre eux ne peuvent qu’être heureux. Oui, le bonheur se lit sur le visage des uns et la fierté sur le front de ceux qui ont longtemps espéré des élections sans jamais en voir un début d’exécution. Aujourd’hui, à quelques heures de la proclamation des résultats, il faut faire en sorte de ne point lâcher la proie pour l’ombre. De façon plus pragmatique, il ne faut pas se tromper dans le suffrage à exprimer. Il est certain que malgré le score serré, Henri Konan Bédié est bien parti pour gagner cette élection. Car comme le disait toujours le sage ‘‘ On ne juge pas au départ mais toujours à l’arrivée’’. Pour dire que, quelque soit ce qui va se passer, les douleurs, les angoisses, les hantises et les appréhensions par lesquelles les uns et les autres vont passer, les militants du PDCI-RDA doivent s’armer surtout de courage. Surtout de patience. Tout simplement parce que le chemin qui reste à parcourir est encore semé d’embûches qui se nomme FPI, pseudo ‘‘jeunes patriotes’’, escadrons de la mort et la boue hors saison du carrefour Mel Théodore et les fraudes massives constatées dans les différentes villes de l’intérieur. Où la gangrène FPI Majorité présidentielle s’est déjà mise à l’œuvre. La victoire du Président Henri Konan Bédié ne fait aucun doute. Et le second tour, s’il y en avait, conforterait cette avance que tous les militants s’attendent à voir se renforcer. Pour une élection sans bavure afin de reconstruire ce pays qui ne remplit point du tout les critères pour compter au nombre d’un Etat. Tant, toutes ses composantes sont aux antipodes de la bonne gouvernance. Ce n’est donc pas une chimère si certaines personnes se surprennent à se demander ce que fait le fils du sergent-chef encore dans la course. Alors qu’il devrait être laminé. Mais qu’y peut-on lorsque l’on construit des monuments en lieu et place des relations internationales qui permettent de poser les bases d’un Etat solide. Basé sur le respect des relations diplomatiques. Et non sur les injures et les invectives. Henri Konan Bédié est en course pour la tête de ce pays qu’il va diriger à nouveau grâce aux militants du PDCI-RDA qui iront massivement lui confier leur destin. Des militants qu’il respecte et non envers qui l’on affiche, comme le fils du sergent-chef, un mépris honteux et suffisant.

A demain !

Tag(s) : #Le Thé du Mandat
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