L’acte que vient de poser M. Bollou est vraiment irraisonnée. L’homme s’est violemment livré à une scène spectaculaire de combat de boxe qu'il gagnera finalement par jet d'éponge. Sans aucune considération pour la gente féminine, il a failli ôter la vie de son adversaire qui n’est autre que la mère de son enfant. Celle-ci, n' a eu son salut que grâce aux personnes de bonne volonté qui ont accouru promptement pour l’arracher des griffes de ce pugiliste de forte corpulence. Qu’est ce que cette dame au physique ingrat a pu réellement commettre comme crime pour qu’elle soit vulgairement brimée dans les rues par cet agent de la compagnie ivoirienne d'électricité?
En effet, le mercredi 4 Octobre 2017, peu avant 19 heures, en tenue estampillée dla compagnie ivoirienne d’électricité, s'accrocher avec une demoiselle. Lequel agent serait M. Bollou et la prénommée Carine, la mère de son enfant. Celui-ci a garé sa motocyclette de fonction de marque Yamaha, immatriculation 5972 GX 01 de couleur bleue, juste en face de l’échoppe ex ‘Tango’, sis en plein cœur du commerce à l’opposé de la pharmacie Principale. Sans raison sérieuse et de manière intempestive, fous de rage, l’un et l’une se lancèrent des propos plus ou moins pervers devant les yeux médusés des passants. Tous les efforts sont restés vains. Ces deux querelleurs sont pratiquement devenus des acteurs d’un véritable film que chacun, sur son passage, tenait à regarder. Alors qu’il se trouvait assis sur l’une des chaises se trouvant sur la terrasse dudit magasin, comme s’il s’agissait d’un tigre qui bondi sur sa proie, ainsi, l’on sera surpris de voir l’agent CIE, M. Bollou qui, d’un geste simultané et de démangeaison, bondira sur la jeune dame qui,elle, se trouvait arrêtée en bordure de route. Elle demeura la cible des violences de ce dernier. Des coups de points, elle en a eu comme des gouttes d’eaux sur son corps. D’une mauvaise intention, elle sera par la suite projetée sur le bitume, par cet homme rudement costaud. Il a fallu la promptude d’EL Hadj Bardon, président des photographes dans le Gôh, pour parvenir à la sauver de justesse. Car, elle a manquée de peu d’être écrasée par un taxi qui était, en ce moment précis de passage. Le comportement irresponsable et vipérin de cet agent CIE, qui décida de s’ériger en ‘Meckel Tyzon’ face à cette pauvre demoiselle finira par susciter la furie des uns et les autres. Ce dernier qui n’a eu aucun remord suite à l’acte ignominieux qu’il venait à peine de poser, d’un tempérament fougueux, agira avec désinvoltures face à tous, sur les lieux. « Quittez-là, je vais partir wêh… » Va-t-il s’adresser aux personnes présentes qui calmaient les ardeurs de la jeune dame battue. Cette phrase là, a révoltée plus d’un. M. Bollou qui croyait être le seul à avoir le monopole de la violence va être alors empêché dans son zèle de partir. Les esprits se sont véritablement échauffés entre les spectateurs et lui. Selon la maxime ‘on ne bat pas la femme mais on se bat pour la femme’. Il été absurde de constater qu’au cours de cette bagarre, l’agent Cie, Bollou, puisque c’est de lui qu’il s’agit, qui, peut être, tenait à se faire médailler, voudrait bien en finir avec son adversaire autre que cette impécunieuse femelle. Pour preuve, malgré la détermination des uns et les autres à vouloir les séparer, l’homme tenait cruellement les mèches de celles-ci entre ses mains. Quel déshonneur…pour un homme de sa trempe ? A la vue de ce qui s’est passé, des ONG se constitueraient partie civile pour poursuivre en justice le mis en cause, à savoir M. Bollou. Voici l’image d’une violence inouïe qui en parle d’elle même. Nous y reviendrons
Nesmon De Killer/Correspondant régional
Au vu de ce qui a précédé, l’on s’interroge de savoir si l’on peut atterrir, du moins, peut se compter par hasard sur le registre de l’effectif du personnel de la compagnie ivoirienne d’électricité(CIE), sans être soumis aux textes de moralité ? Sinon, comment comprendre et admettre qu’un agent de surcroît assermenté puisse adopter un comportement aussi navrant sur une tierce dans la rue pendant qu’il s’y trouvait dans une tenue réglementaire de cette entreprise qui l’emploi ? N’est ce pas là, une attitude à vouloir tenir l’image de l’entreprise dans laquelle il exerce ? Sans exagéré, l’on est tenté de dire que le sieur Bollou a manqué de sagesse. N’a-t-il pas perdu son honorabilité face à cette maigreur de femme qui n’est autre que la mère de son enfant ? Affaire à suivre
Nesmon De Killer