Le fils du sergent-chef, ‘‘Président’’ d’une République soumise au pouvoir de l’argent et des privilèges usurpés a parlé sur ‘‘Tv Lmp’’. Le seul média professionnel qui vaille la peine de diffuser son message à la Nation. Donc aux Ivoiriens et tous ceux qui ont fait l’honneur d’inscrire la Côte d’Ivoire au nombre de leurs destinations. Malheureusement, le fils de Koudou Zêpê a tout dit, sauf parler de ce que les Ivoiriens attendaient de lui : débarrasser le plancher afin que le pays respire mieux et retrouve sa quiétude. Vicié depuis le 28 novembre au soir, date de l’élection du candidat du RHDP Alassane Ouattara. Malheureusement, alors que tous les Ivoiriens et le monde s’attendaient à ce que le fils du sergent-chef s’aménage une porte de sortie honorable pour s’extraire du bourbier dans lequel il s’est embourbé, le ‘‘Président’’ de la République s’est encore une fois fourvoyé. En surfant sur les sentiments contradictoires qui le tiraillent depuis et lui font prendre ses ambitions pour celles des Ivoiriens. Qui ont longtemps rompu le cordon ombilical qui rattachait certains, au fils du sergent-chef, champion incontesté des promesses fallacieuses. Aujourd’hui, après avoir fait le compte des promesses non-tenues et de la misère sans nom qu’elles vivent, les populations ivoiriennes ont, à l’unanimité décidé de tourner la page de l’incertitude incarnée par le fils du sergent-chef, son harem, sa garde prétorienne et ses courtisans zélés qui lui doivent tout. Absolument tout. alors, comment ne pas comprendre que certains officiers supérieurs se sentent obligés de faire comme la chèvre qui ‘‘broute là où elle est attachée’’ ? Surtout après avoir été ‘‘super cadeautés’’. Pourquoi ce discours laconique comme pour répondre au Président Aimé Henri Konan Bédié ? Un homme d’Etat dont le discours est vivement apprécié par tout le monde entier. Le fils de Zêpê était-il obligé de se précipiter sur ‘‘télé Mille Collines’’, pardon ‘‘tv lmp’’, ‘‘pour tout dire sauf l’essentiel’’. Oui, le fils du sergent-chef était obligé de faire cette apparition télévisée pour donner encore dans le dilatoire. Comme à son habitude. Quand ‘‘on gagne ou on gagne’’ et que Dieu qui vous a donné le pouvoir vous a lâché, on part sans chercher à décimer la population. Mais que le fils du sergent-chef qui avait à choisir entre le départ et l’orgueil, quand on organise une élection on peut perdre. Seulement, il faut que le fils de Koudou Zêpê sache qu’il existe la loi des 2P, 2G : On perd, on Part ; on Gagne, on Gère !