Dans la nuit du 24 au 25 décembre dernier, une demi-douzaine de filles dont l’âge variait entre 14 et 16 ans ont occupé des chambres pour, à première vue, se reposer. Malheureusement, la vérité sera plus choquante. En effet, ces gamines y étaient en vue de participer à une orgie. A l’occasion d’une manifestation dite ‘Piscine Party’ organisée par un groupe de jeunes.
La plupart des filles invitées pour la circonstance, semblaient être des mineures. La vente et la consommation de l’alcool à ces filles impubères étaient attristantes. Et pourtant ! Les organisateurs qui auraient nourris un dessein secret, ont, à l’entame de toutes choses, payer et réquisitionner des chambres de passe. Ce qui devrait arriver, arriva. Ces différentes chambres dans lesquelles se trouveront plusieurs filles mineurs et des garçons, naturellement, s’en donnaient à des partouzes. En clair, de ‘Piscine Party’, il s’en est suivie une ‘Sexe Party’ à l’intérieur de ces chambres là. Un peu plus tard, soit aux environs de 23 heures, l’on sera stupéfait de la présence des inconnus dans l’enceinte de l’hôtel. Ces individus mal intentionnés agressaient et dépouillaient les occupants des lieux de leurs téléphones portables et argent. C’était le sauve qui peut. Informée de la situation, la police qui se trouvait en patrouille de sécurisation fera une descente musclée sur les lieux. Au terme des contrôles méthodiques et systématiques des lieux, plusieurs filles mineures, plus ou moins, en état d’ivresse et des garçons, tous nus se trouvaient dans de différentes chambres. Qu’y faisaient-elles ?
Les policiers vont alors soumettre le gérant à un interrogatoire. Force sera de constater que les occupants de ces différentes chambres n’ont pas été enregistrés comme il se devait. Aucune formalité d’usage. N’avaient-ils pas payé leurs chambres ? Peut-on encaisser et attribuer des chambres d’hôtel à des clients sans vouloir les déclarer ? A quelle fin utile ces derniers n’ont pas été déclarés selon les règles de l’art ? Que cache cette négligence ou laxisme coupable de M. Golly ? Il y a anguille sous roche. Vivement que M. Ambroise Késsié, promoteur du réceptif hôtelier prenne les dispositions qui s’imposent pour assainir son personnel.
C'est tout à fait déplorable pour un hôtel de renom et qui se veut aussi crédible de se rendre complice de tels actes qui militent en faveur de la dépravation des mœurs. Il faut le dire tout net, cette situation expose, ternit non seulement la réputation de l’hôtel mais aussi du fondateur Ambroise Késsié. Plusieurs adolescents ont été embarqués et conduits commissariat de police pour nécessité d’enquête.
Nelson De Killer/Région du Gôh