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Il y a quelques mois en arrière, Roseline Layo, pour la qualité de ses œuvres discographiques, décrochait un « Disque d’or ». Avec le titre à problème «  Môgô Fariman », dont Affou Kéita, s’était réclamée, l’auteure. Mais qui va être, elle aussi, accusée de plagiat. Puisque la créatrice de l’œuvre, Mme Coumba, interviendra pour mettre un bémol dans cette affaire, autour de laquelle, à y voir de près, Affou Kéita, aurait fait du bruit pour rien.

Aujourd’hui, Roseline revient au pays, après  « Trace Awards Rwanda2023 », le 21 octobre dernier à Kigali, au Rwanda, avec un autre sacre : « Meilleure artiste révélation de l’année »... Et voilà qu’un « journaleux », au lieu de la féliciter, l’accuse de plagiat. Mais, cette fois, elle est accusée de « plagiat vestimentaire ». Elle avait porté une tenue, dont le modèle était porté par une fille.  Ce « journaleux » se plaindrait, parce que Roseline Layo, aurait porté une tenue  cousue de la même manière. 
Je voudrais savoir, ce que  ce « journaleux » recherche, en sortant un tel papier !  Qu’il essaie de mettre un peu d’eau dans son vin. La victoire de Roseline Layo, à notre sens, devrait être considérée comme une victoire nationale. Roseline mériterait d’un accueil triomphal. Comme on a l’habitude de le faire chez nous ici, en Côte d’Ivoire. Pour féliciter des Ivoiriens, des Ivoiriennes, qui rentrent des compétitions internationales, avec sous la main, des lauriers. Au lieu de cet acte patriotique, ce « journaleux » pond un article à relent de méchanceté, de jalousie. Tendant à jeter le discrédit, sur Roseline Layo, l’une des  nouvelles Etoiles de la musique ivoirienne. A ce « journaleux », on doit lui enseigner le patriotisme. Car, on a l’impression qu’il écrit ses articles en se tenant debout. Sinon, comment comprendre que Roseline Layo arrive d’une compétition internationale avec le succès, et un « journaleux » l’accueille, avec un article qui pue les mauvais sentiments. Où a-t-il appris l’éthique et la déontologie du métier qu’il « exerce » ?
Ayons un peu de patriotisme devant les exploits de nos stars. Sinon, ce n’est pas en agissant de la sorte que nous construirons notre pays, la Côte d’Ivoire, qui attire tant, tout le monde aujourd’hui. La nouvelle Afrique, sur laquelle un vent de conscience est en train de souffler, a besoin d’un esprit patriotique prononcé soutenu, pour un développement harmonieux auquel, elle de façon légitime, elle aspire depuis des lustres. Des journalistes qui tirent l’Afrique vers le bas, on n’en a plus besoin de nos jours.  Il faut orienter notre combat selon la conscience collective.
Suite à l’article sur Roseline Layo, son manager, Gnahou David Chewe,  a réagi :   
« Bonsoir M. @UgoMan Kadja ! Moi, je vais être direct avec vous, Mr le Chroniqueur. Vous ne nous avez jamais aidé à la Communication de l’artiste Roseline LAYO, sur qui, à chaque fois, vous faites des mauvaises publications. Je prends l’opinion publique à témoin. Cette publication est un avertissement ferme … C’est votre dernière publication sur cette artiste…
Nous avons, je pense, des Tribunaux, pour régler tout ce genre de truc à Abidjan. Si vous vous amusez encore, à utiliser son image pour vos soit- disant Like ! Sa maison de Production vous traduit directement en Justice, et comptez sur moi, pour cela, et ça sera sans retour …
A bientôt Mr … ! »

Par Justin KASSY

 

Roseline Layo : Pourquoi s’acharne-t-on sur elle ?
Tag(s) : #People
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