Nous avons reçu cette contribution sur l’houphouetisme par le du chercheur Adhout sur la problématique de la justice comme fondement de la paix dans le monde. Nous vous la proposons.
Jamais, comme dans notre époque contemporaine, la paix n'a été l'objet de tant de préoccupation dans le monde. Le monde pour ainsi dire est en feu. Il brûle de désir d'avoir la paix, il brûle de ne pas connaître la paix. Alors que les hommes illustraient leur quête de grandeur par la maîtrise du concept de domination et la culture de l'inégalité légitimée et travaille à l'imposer comme principe de l'universalité.
Houphouët, comme dans le désert prêchait la paix. Il illustrait son prêche par son propre vécu et en fait une idéologie sociale que les incohérences de nos consciences ont trop vite fait d'appeler politique pour la confondre à une certaine compréhension du monde qui est la leur. Le résultat, à la politique on a fait signifier tout et n'importe quoi. La preuve de leur raison, c'est entre autre, le feu qui brûle le monde faute de paix, et le désir de paix qui brule les consciences humaines. Pour le critique social, le progrès technologie, les voyages dans l'espace, l'exploration de l'univers ne sont pas en définitive la quête de la construction d'un monde habitable, une tentative de reconstruction du monde qui se perd de plus en plus ?
C'est ici aussi que la masse media présentée comme le moyen par excellence pour communiquer montre une de ses carences. En effet, se faire entendre, il est devenu évident n'est pas nécessairement communiquer. Les faits existentiels de notre époque montrent clairement une surdité indescriptible. A la fin, il n'y a pas de paix. Les hommes de paix, on a commencé à le comprendre, sont en vérité ce que le progrès et la technologie ont de signification véritable et surtout en qualité. Le monde, dis-je, ne se construit plus par la technologie, du moins se construit par ce que la technologie a de vrai, c'est-à-dire, la paix. Houphouët avait donc raison. Il ne s'est fait pas entendre par la masse, mais il a communiqué. Ainsi, il a laissé au monde ce que le monde chercherait : la paix par une fondation pour la recherche de la paix. Je parle de problématique de la justice comme fondement de la paix parce que c'est la justice qui donne naissance à la paix et la fait subsister. Dans cette adresse au monde, je risque la réflexion de l'inscription dans le principe universel de la paix à partir de la vision Houphouetique ou si l'on veut de l'Houphouetisme comme modèle d'espérance promise à l'humanité comme il l'a fait inscrire dans notre hymne national où il a posé les fondements de notre pays comme modèle de l'espérance promise aux hommes.
Houphouët, comme dans le désert prêchait la paix. Il illustrait son prêche par son propre vécu et en fait une idéologie sociale que les incohérences de nos consciences ont trop vite fait d’appeler politique pour la confondre à une certaine compréhension du monde qui est la leur. Le résultat, à la politique on a fait signifier tout et n’importe quoi. La preuve de leur raison, c’est entre autre, le feu qui brûle le monde faute de paix, et le désir de paix qui brule les consciences humaines. Pour le critique social, le progrès technologie, les voyages dans l’espace, l’exploration de l’univers ne sont pas en définitive la quête de la construction d’un monde habitable, une tentative de reconstruction du monde qui se perd de plus en plus ?
C’est ici aussi que la masse media présentée comme le moyen par excellence pour communiquer montre une de ses carences. En effet, se faire entendre, il est devenu évident n’est pas nécessairement communiquer. Les faits existentiels de notre époque montrent clairement une surdité indescriptible. A la fin, il n’y a pas de paix. Les hommes de paix, on a commencé à le comprendre, sont en vérité ce que le progrès et la technologie ont de signification véritable et surtout en qualité. Le monde, dis-je, ne se construit plus par la technologie, du moins se construit par ce que la technologie a de vrai, c’est-à-dire, la paix. Houphouët avait donc raison. Il ne s’est fait pas entendre par la masse, mais il a communiqué. Ainsi, il a laissé au monde ce que le monde chercherait : la paix par une fondation pour la recherche de la paix. Je parle de problématique de la justice comme fondement de la paix parce que c’est la justice qui donne naissance à la paix et la fait subsister. Dans cette adresse au monde, je risque la réflexion de l’inscription dans le principe universel de la paix à partir de la vision Houphouetique ou si l’on veut de l’Houphouetisme comme modèle d’espérance promise à l’humanité comme il l’a fait inscrire dans notre hymne national où il a posé les fondements de notre pays comme modèle de l’espérance promise aux hommes.
ADHOUT FREDERIC
Chercheur et Administrateur
GROUPE S.I.R.C sa
(Société Ivoirienne de Recherche et de Communication)