YEMI ALADE (star Nigériane) : « ….Je demande à mes sœurs Africaines de suivre mon exemple… »

Aujourd'hui,  et cela va faire pratiquement 7 mois que je consomme plus de films pour adultes, ni faire l'amour. Et je suis à l'aise VÉRITABLEMENT. Je demande à mes sœurs Africaines, de suivre mon exemple.  Cela permet de se concentrer beaucoup plus sur des choses importantes. »

Voilà ce qu’écrit sur la toile, la star Nigériane, Yemi Aladé. A travers ses propos, apparaissent, d’une part, la violence qu’elle observe sur elle-même, en s’abstenant de  s’adonner à certains plaisirs.  Et d’autre part, ayant constaté le bonheur qu’elle tire en tire, elle exhorte ses sœurs Africaines, à « suivre son exemple ».  Car, indique-t-elle, « cela permet de se concentrer beaucoup plus sur des choses importantes. »

La « recette », pourrait-on dire,  de Yémi Aladé, est présentée.  Intéressera-t-elle ou pas  ses sœurs Africaines? Ce que nous savons, à propos de l’amour, c’est qu’il  entretient l’équilibre psychosomatique. C’est-à-dire, le physique et le moral.  Mais, en s’en abstenant pendant un long moment, y –a-t-il, un ou des risques, qu’on court ? Seuls, les médecins et autres scientifiques, pourront nous le dire !  Mais, aujourd’hui, le constat est tangible, visible. L’amour fait le quotidien de certaines Africaines.  Il y en a qui ne peuvent s’en séparer, au point qu’on a l’impression qu’elles le vivent, à tout bout de champ. Deux aspects présentent l’amour de nos jours : la prostitution  à ciel ouvert. Les filles qui l’ont choisi comme leur job. Et la prostitution de luxe. Qui se pratique sous des couverts fallacieux. A travers certaines influenceuses. 

Et puis, ne pas regarder des films pour adultes, suppose qu’on regarde ceux des enfants, ou, ceux qui ne permettent pas de pousser un peu loin la réflexion.  Dans tous les cas, c’est un choix  qu’on opère, à notre sens. Mais, il y a aussi que quand le cerveau n’est pas soumis aux épreuves, il n’enfante pas, la plupart du temps, des choses de qualité.  Or, nous savons, a priori, que tout  film se veut, didactique. Même, quand on pense qu’il est seulement ludique.  

Comme on le voit, après tout ce qui précède, s’abstenir de faire l’amour pendant un long moment, est une bonne chose, apparemment. Mais, le faire aussi de temps en temps, n’est pas mauvais. Il faut aussi dire qu’au niveau des films, qu’ils soient adultes ou pas, rien n’est gratuit, fortuit ! Tout interpelle le cerveau, et le fait travailler. Pour que nous ne soyons pas trop oisifs dans la société. Car, l’oisiveté, vue sur le  plan religieux, est un péché. Et, au niveau moral, psychique, celui qui ne fait rien, est souvent tenté de mal faire.

Alors, que doit-on faire ? Violente question ! Pour paraphraser l’artiste, N’guess Bon Sens !

Par JUSTIN KASSY