Depuis quelques temps, on constate une nouvelle activité des femmes d’un certain âge, et de certaines jeunes filles sur la toile. Qui s’adonnent, à visage découvert, parfois, à la pratique du « plaisir charnel », sous l’appellation de « Femmes Gnanhi matures » ou de « Bizzi » pour des jeunes filles. Plusieurs « clubs » voient le jour de nos jours, à travers les capitales africaines, comme des champignons qui poussent dans la forêt. Cette activité est en train de prendre de l’ampleur.
Pour accéder à ces « clubs » de « plaisir » et pouvoir bénéficier de leurs services, il est demandé aux « candidats » de s’inscrire, en payant un montant, soit de 5000FCFA à 7. 500FCFA ou 10.000FCFA voire 10.500 FCFA auprès du Secrétariat du « club ». Cette somme permet seulement d’avoir un seul rendez-vous avec une partenaire. Que vous aurez à choisir sur une présentation de photos de plusieurs « Femmes Gnanhi matures ». Si vous voulez encore aller au « plaisir », vous êtes obligé de repayer. Là-bas encore, vous risquez parfois l’arnaque. Ces arnaqueurs, généralement partisants des moindres efforts ! Ils sont partout !
Ça, c’est du côté « administration » ! Après avoir rempli ces conditions, et passé un moment de « plaisir » avec votre partenaire, selon votre choix, cette dernière vous paye cash. Les montants varient entre : 100 mille, 150mille, 200mille, 300mille, etc. Si vous aviez été performant, elle peut aller au-delà du montant arrêté.
Parallèlement aux « Femmes Gnanhi matures », il y a des jeunes filles qui exercent le métier. Elles s’appellent « Bizzi ». Elles demandent le transport pour se rendre chez vous. Ou alors, vous vous déplacez chez elles. Là, c’est l’homme qui paye, après le « service ». Le montant est fonction de la beauté de la fille et de sa réputation. Que ce soit la journée comme la nuit, « Femmes Gnanhi matures « ou « Bizzi », le « plaisir » peut avoir lieu. Seulement que chez la « Bizzi », le tarif change, si elle doit passer toute la journée, ou toute la nuit. Là aussi, il y a de l’arnaque. Car, selon nos sources, certaines filles prennent l’argent pour le transport et ne viennent plus au rendez-vous. Les appels pour les recontacter sont vains. Il arrive parfois que le numéro ne réponde plus, ou le message dit que vous vous êtes trompé de numéro. Sans blague ! Il y a aussi des hommes qui se livrent à ces jeux-là. Ils demandent à la fille de prendre un taxi (arrivée payée). Mais à leur arrivée, l’intéressé est introuvable et injoignable. Il y a aussi le fait que des garçons se cachent derrière des images de belles jeunes filles, pour escroquer des hommes.
Ces « clubs », selon des posts lus sur le net, « marchent bien ». Parce que les « dames payent bien les hommes ». Il suffit de contacter Mr X ! C'est chez lui qu’on paye les frais d’inscription. C’est encore lui qui met les intéressés en contact avec la femme ou la fille de sa préférence.
Mais, cette « générosité » après une séance de « mougouli », suscite en nous une question. L’argent des « femmes Gnanhi matures » ne porte-t-il pas la marque de Satan ?
Par Justin KASSY