𝑭𝒐𝒖𝒔𝒔𝒆𝒚𝒏𝒊 𝑮𝒍𝒂𝒅𝒊 (Artiste malien) : « Cette femme est une chance pour le Mali »

Fatoumata Batouly Niane est la présidente « d’AN BIKO ». Un mouvement politique & Citoyen. Qui entend militer, avec détermination, dans tous les secteurs d’activité. Pour répondre aux aspirations légitimes des populations maliennes. Sur toute l'étendue du territoire national malien.  Cette option ne s’est pas contentée de baigner  dans la rhétorique. A l’image d’autres mouvements  politiques. Qui, versés dans les discours truffés de mensonges et d’hypocrisies, ont perdu de leurs substances vitales aux yeux des populations.  Parce qu’incapables d’exercer aucun pouvoir, aucune influence, sur la conscience de celles-ci.  Ainsi, en un temps record, « AN BIKO » est devenu au Mali, un mouvement politique populaire. Qui ratisse large, avec les adhésions qu’il enregistre chaque semaine, dans les Communes de Bamako et celles de l’intérieur du pays.  

« AN BIKO » se veut omniprésent au Mali. Où, il sent le besoin d’agir, il n’hésite pas. Son souci de partager, d’apporter un mieux-être, un mieux-faire,  est devenu un sacerdoce.  A la période du jeûne musulman, « AN BIKO » s’est éloquemment illustré. Tant au Mali qu’à l’étranger.  Apporter son soutien financier, pour un mieux-être, pour soigner des compatriotes malades,  assister des démunis, permettre aux familles de scolariser leurs enfants, comme il vient de le faire à cette rentrée, en faisant des dons d’effets scolaires, etc.  En tout cas, les actions humanitaires et sociales « d’AN BIKO » sont légions, à travers le Mali. Tout, pour construire un élan de solidarité nationale, en vue de réaliser le rêve que tous les Maliens caressent : le « Mali Coura »(le Mali nouveau) !

Au vu de toute cette débauche d’efforts empreints de patriotisme, on ne peut que soutenir cette femme, cette Malienne au grand cœur. Cette compatriote, à la fois, à part entière et entièrement à part. C’est en cela, que l’avis de  Fousseyni Gladia, un artiste Malien,  prend tout son sens. Il écrit ceci :

« On est tous d'accord que s’il y avait au moins 5 Fatoumata  Batouly Niane au Mali, il n’y aurait plus de différence, entre les enfants orphelins, et les gens qui ont leurs parents vivants. Reconnaissons que Cette femme, est une chance pour le Mali ».

Par Justin KASSY