Fatoumata Batouly Niane (Présdente d’AN BIKO) : Elle nous invite à méditer une pensée d’Albert Brie.

Fatoumata Batouly Niane est une femme d’action. Tous les jours, elle est à la tâche. Avec ses compatriotes de toute catégorie sociale. C’est une communion fraternelle. Certes ! Mais, en fait, une communion à visage sociale. Puisqu’au cours de ces rencontres avec ses frères et sœurs, le point focal des conversations empreintes de sincérité, de vérité, c’est l’entraide, l’assistance, et l’expression réelle de la bonne humeur. Et Fatoumata Batouly Niane rentre souvent chez elle , après s’être souvent arrêtée, en cours de route, pour être à l’écoute de ces « coupeurs de route », et leur apporter solution à leurs préoccupations. Avant de continuer tranquillement et heureuse, tout comme ceux pour qui, elle a marqué, un moment, cet arrêt. Après toute une semaine chargée à répondre aux besoins des uns et des autres, le week-end, elle se repose, dans le calme, chez elle. On pense que la dame au cœur d’or, se reposerait réellement. Que nenni !

Alors que dimanche, comme un devoir qu’elle devrait accomplir, Fatoumata Batouly Niane, passe le plus clair de son temps à la lecture. On comprend pourquoi, elle est toujours  en train de sortir des pensées philosophiques destinées à ses semblables. Pour observer un mieux-être et un mieux –faire dans la société.

Ainsi, à la faveur de ce week-end, souhaitant un excellent dimanche à tous, elle nous donne à méditer cette pensée d’Albert Brie : « On trouve toujours de l’argent pour faire la guerre, mais jamais, pour vivre en paix ». Une pensée qui cadre avec l’actualité du moment. Quand on voit tout ce qui se passe chaque jour, sur la Planète, et qui n’est pas de nature à décourager ceux qui cultivent les éléments nourriciers de la guerre. Mais, plutôt, à encourager les vilains sentiments, généralement générateurs des conflits et des guerres inutiles, qu’on éviterait pour préserver la vie, ce don de Dieu qu’on ne trouve nulle part ! Batouly Niane, nous sert une belle pensée que nous devrions faire sienne chaque jour. Pour éviter le pire.

Merci à Fatoumata Batouly Niane. Qui nous donne l’occasion de méditer sur nos faits et gestes.

Par Justin KASSY