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Les contributions israéliennes à la science sont significatives en médecine, physique et agriculture et plus particulièrement encore en génétique, informatique, électronique et optique. Des prix Nobel en science et en économie ont été décernés à quatre Israéliens depuis 2002. Israël figure au 6e rang mondial en matière de contribution en termes de prix Nobel par habitant[36]. Le nombre de publications scientifiques par habitant (109 publications par 10 000 personnes)[37] et de brevets déposés par habitant figure parmi les plus élevés au monde.

Israël arrive en tête au classement mondial en matière de dépense annuelle pour la recherche et le développement avec un taux de 4,7 % de son PIB[38]. Les financement de cette recherche proviennent principalement du privé contrairement aux autres pays développés.

En 2010, Israël a officiellement rejoint l’OCDE en vue des progrès économiques et réformes réalisés[39].

Israël dispose d’immenses ressources en gaz naturel, dont la découverte est récente et l’exploitation prévue à partir de 2013. Ces ressources sont de nature à transformer Israël en exportateur de gaz, ce qui aura probablement des conséquences très importantes sur son économie[40].

Géographie

Géographie

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Photo satellite - Israël en janvier 2003.
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Plaine côtière près du mont Carmel.

Israël est situé sur la rive est de la Méditerranée, bordé au nord par le Liban, au nord-est par la Syrie, à l’est par la Cisjordanie et la Jordanie et au sud-ouest par l’Égypte et la bande de Gaza.

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Golfe d’Eilat.
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Arche naturelle en Galilée.
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Les collines de Judée aux environs de Jérusalem.
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Le cratère Ramon dans le désert du Néguev.

Le territoire d’Israël (hors les zones occupées de Cisjordanie, de Jérusalem-Est et du plateau du Golan), est d’environ 20 770 km2, dont environ 2 % sont occupés par des lacs. Le territoire sous juridiction israélienne, qui inclut la totalité de Jérusalem et les hauteurs du Golan atteint 22 072 km2. La superficie totale sous contrôle israélien direct ou partiel, qui comprend également les territoires palestiniens de Cisjordanie et exclut Gaza, mesure au total 27 799 km2.

En dépit de sa taille relativement réduite, Israël regroupe des spécificités géographiques variées allant du désert du Néguev au sud jusqu’aux pentes et monts de Galilée et du Golan tout au nord. La plaine côtière israélienne sur les rives de la Méditerranée accueille environ 70 % de la population totale du pays. À l’est des collines centrales de Samarie coule le Jourdain qui part du lac de Tibériade au nord pour se jeter plus au sud dans la Mer Morte, le point le plus bas sur Terre, situé au sud-est de Jérusalem. Plus au sud de cette mer saturée en sel, la vallée de l’Arabah ou Haarava au climat sec et aride, se prolonge jusqu’au Golfe d’Eilat en Mer Rouge, refuge d’une importante vie aquatique due à la présence de nombreux récifs et coraux.

Il existe des particularités uniques à Israël et à la péninsule du Sinaï, ce sont les « makhteshim » ou cratères créés par l’érosion. Le plus grand makhtesh du monde est le cratère du Ramon dans le Néguev qui mesure 40 km de long sur 8 km de large. Un rapport environnemental récent[Lequel ?] sur le bassin méditerranéen indique qu’Israël détient la plus grande variété d’espèces de plantes répertoriées au kilomètre carré de tous les pays méditerranéen.[réf. souhaitée]

Le climat des zones côtières peut être très différent de celui des zones montagneuses du pays, particulièrement pendant les mois d’hiver. Les régions de Tel Aviv et Haïfa ont un climat typiquement méditerranéen avec des hivers doux et pluvieux et des étés chauds et humides. Les montagnes au nord sont par contre souvent enneigées l’hiver, et Jérusalem peut aussi connaître des chutes de neige.

La température la plus élevée du continent asiatique (53,7 °C) a été atteinte en 1942 au Kibboutz (village associatif) de Tirat Zvi au nord du Jourdain[réf. souhaitée]. De mai à septembre, les journées de pluies sont relativement rares. Les faibles ressources hydriques de l’État d’Israël l’ont contraint très tôt à prendre des mesures visant à favoriser les technologies limitant la consommation d’eau[41]. Israël produit une partie croissante de son eau par des procédés de désalinisation. Le fort ensoleillement a également favorisé l’implantation d’incubateurs technologiques sur les énergies solaires ce qui place Israël parmi les nations les plus avancées dans ce domaine tant par la consommation par habitant que par le développement technologique dans ce domaine[42],[43]. Un projet de très grande centrale solaire mondiale est actuellement envisagé dans le Néguev[réf. souhaitée].

Capitale d’Israël
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Mur des Lamentations, symbole du judaïsme à Jérusalem.

La désignation par la loi israélienne de Jérusalem comme capitale est contestée actuellement par la quasi-totalité de la communauté internationale. Cette position date des débuts de l’histoire d’Israël, quand en 1949 Israël décide que sa capitale est la partie ouest de Jérusalem[44] et y installe le gouvernement et la Knesset. La communauté internationale n’accepte pas cet état de fait qui ne tient pas compte des recommandations de l’ONU et les ambassades sont en conséquence à Tel Aviv ou même dans d’autres villes (jusqu’en 1973, il y avait toutefois à Jérusalem quelques ambassades africaines et jusqu’en 1980 y siégeaient aussi 13 ambassades de pays de l’Amérique latine et des Pays-Bas). La proclamation de Jérusalem réunifiée comme capitale, à la suite de la guerre des Six Jours, n’est pas plus acceptée car l’annexion n’est pas reconnue par la communauté internationale. La désignation de Jérusalem ou de Tel Aviv comme capitale a fait l’objet de controverses médiatiques[45].

Position des institutions internationales

Les principaux organismes internationaux (notamment l’ONU[46]) ne reconnaissent aucune capitale pour Israël. La résolution 478 du Conseil de sécurité des Nations unies déclare « nulle et non avenue » la loi fondamentale adoptée par l’État israélien définissant Jérusalem capitale éternelle et indivisible[47].

Position des différents États et organismes nationaux
  • Allemagne : L’Allemagne constate qu’Israël considère Jérusalem comme sa capitale mais constate également une non reconnaissance de ce fait par la communauté internationale[48].
  • Canada : pas de capitale définie[49].
  • Chine : pas de capitale définie[50]
  • Danemark : pas de capitale définie[51].
  • Espagne : pas de capitale définie[52]
  • États-Unis : Jérusalem[53].
  • France : La position française précise : « L’État d’Israël a fixé sa capitale à Jérusalem, malgré l’absence d’accord international sur le statut de cette ville. »[54]. Dans une déclaration au Figaro publiée le 30 novembre 2009, le ministre des affaires étrangères français, Bernard Kouchner, déclare : « Pour nous, Jérusalem doit être, à la fois la capitale de l’État d’Israël et du futur État palestinien »[55]. L’ambassade française est néanmoins demeurée installée à Tel Aviv.
  • Inde : La position indienne précise : « Jérusalem, proclamée comme capitale indivisible d’Israël mais cela n’a pas reçu une acceptation internationale »[56].
  • Royaume-Uni : La position britannique précise : « Israël soutient que sa capitale est Jérusalem, une revendication non reconnue par la communauté internationale »[57].
  • Suisse : cite les deux villes (Jérusalem et Tel Aviv) comme capitales[58]
  • OLP[59] : L’OLP affirme qu’Israël n’a aucun droit sur Jérusalem (« The Israeli claim to sovereignty over Jerusalem has no substance. ») dont elle demande qu’elle devienne la capitale de la Palestine.
  • Union européenne : le 8 décembre 2009, l’Union européenne appelle Israël à partager Jérusalem comme capitale conjointe de deux États hébreu et palestinien. Les Vingt-Sept assurent qu’ils « ne reconnaîtront aucun changement autre que négocié » au statut d’avant 1967[60]. Un rapport confidentiel de l’Union européenne daté du 15 décembre 2008[61], accuse Israël d’utiliser le développement de la colonisation, la construction du mur de séparation, la planification des voies de circulation, l’instauration du régime des permis de résidence et de déplacements imposés aux Palestiniens pour « poursuivre activement l’annexion illégale de Jérusalem-Est »[62],[63].

Territoire

L’État d’Israël est divisé en 6 districts qui sont eux-mêmes divisés en 15 sous-districts, comprenant 50 régions naturelles[64].

Depuis son indépendance, Israël a planté au total plus de 240 millions d’arbres et 4 % de sa surface est dorénavant boisée ce qui fait d’Israël l’un des deux seuls États à avoir davantage d’arbres au tournant du XXIe siècle qu’au début du XXe siècle (3 500 acres de forêts en 1901 contre 213 000 acres en 2009)[65],[66].

Frontières
Article détaillé : Frontières d’Israël.

Israël partage ses frontières avec le Liban au Nord, avec la Syrie au Nord-Est, la Jordanie et la Cisjordanie à l’Est, et avec l’Égypte et la bande de Gaza au Sud-Ouest. Il possède un littoral sur la mer Méditerranée à l’Ouest et dans le golfe d’Aqaba au Sud.

Les frontières d’Israël ne sont pas définies et reconnues par l’ensemble de la communauté internationale. Elles ont évolué au cours de son existence et sont contestées par certains pays. Leur évolution historique, le droit international, les revendications politiques et historiques les concernant sont un sujet complexe et controversé. Généralement, les frontières internationalement reconnues sont toutefois celles qui suivent les lignes de cessez-le-feu de la guerre de 1948 qu’on appelle également, « frontières de 1967 », c’est-à-dire d’avant la guerre des six jours.

Israël a conquis plusieurs territoires sur ses voisins. Lors de la guerre de 1948, elle étend ses frontières au-delà des limites du plan de partage. Lors de la guerre de 1967, elle conquiert la Bande de Gaza, le Sinai et le plateau du Golan. Depuis l’évacuation du Sinai en 1981 et de la bande de Gaza en 2005, Israël occupe encore la Cisjordanie et Jérusalem-Est, revendiqués pour la création d’un État palestinien, le plateau du Golan syrien et les Fermes de Chebaa (revendiquées depuis 2000[67] par le Liban mais faisant partie aussi du plateau du Golan). Jérusalem-Est et le Golan ont toutefois été annexés par Israël respectivement en 1980 et 1981 sans que cette annexion ne soit reconnue.

La résolution 242 de l’ONU n’affirme pas explicitement le retrait total des territoires occupés dans sa version anglaise (« retire from occupied territories ») mais l’exige dans sa version française (« retrait des territoires occupés »).

Armée
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Merkava Mk-4 tank

L’armée israélienne, connue sous son acronyme hébreu Tsahal (pour Tsva Hagannah LeIsrael, Force de défense d’Israël), s’est constituée en mai 1948, en remplacement des organisations armées antérieures dont la principale était la Haganah. Elle comprend aujourd’hui tous les corps d’armée dont l’armée de l’air, la marine et des services secrets (Mossad et Shabak). L’armement d’Israël est hautement sophistiqué et développé en grande partie en Israël par des sociétés comme Elbit Systems ou Israeli Military Industries (IMI). La série de chars Merkava, dont la dernière en date est le Merkava MK-4, est principalement développée et produite en Israël. L’armement est parfois importé, des États-Unis notamment. Tsahal possède environ 750 avions de chasse dont la plupart sont des F-15 et F-16 et envisage se procurer des F-35.[réf. nécessaire]

En 2008, Israël est devenu le 4e exportateur d’armes au monde derrière les États-Unis, la Chine et la France. Elle exporte principalement des systèmes électroniques et équipements militaires de haute technologie : drones, satellites et radars, principalement, dont ses industries se sont fait une spécialité sur un marché très concurrentiel. Fin 2008, les exportations ont atteint 6,3 milliards de dollars, en constante progression. [6]. Les importations d’armes se maintiennent à 2,5 - 3 milliards de dollars depuis plusieurs années[Quand ?]. Le budget de l’armée israélienne est le 4e de la région du Proche-Orient (derrière l’Arabie saoudite, l’Irak et la Turquie). Il atteint 13,3 milliards de dollars (fin 2008).[7]

La plupart des Israéliens sont appelés à l’âge de 18 ans pour servir dans l’armée (3 ans pour les hommes, 2 ans pour les femmes). Sont exemptés : les Arabes israéliens (pour éviter de possibles conflits d’intérêts) et les Juifs haredim qui bénéficient d’un sursis militaire renouvelable tous les six mois s’ils prouvent qu’ils étudient la Torah à plein temps. Pour les Haredim, les contraintes de ce sursis les empêchent de sortir du pays plus d’une fois par an pour une durée de 30 jours, ainsi que de travailler légalement ne serait-ce qu’à temps partiel. L’obtention de ce sursis par les jeunes étudiants de Torah était l’une des conditions du statu quo religieux concédé par Ben Gourion et qui a tenu jusqu’aux années 1980.[réf. souhaitée]

L’OTAN et l’armée israélienne participe régulièrement à des exercices et des manœuvres communes visant à adopter les standards de l’OTAN et tester son intégration.

Israël n’a pas signé le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires. La position officielle israélienne a toujours été de ne pas confirmer ni infirmer les spéculations relatives à sa possession de l’arme atomique. Cependant, le lundi 11 décembre 2006, lors d’une interview de la chaîne de télévision allemande N24 à propos des ambitions nucléaires iraniennes, Ehud Olmert déclarait : « Pourriez-vous dire que c’est la même chose que pour l’Amérique, la France, Israël et la Russie[68] ? ». Auparavant, le 6 décembre 2006, Robert Gates, nouveau secrétaire d’État à la défense américain déclarait lors de son audition au Sénat : « l’Iran est entouré de pays dotés de l’arme nucléaire : le Pakistan à l’est, Israël à l’ouest… ». Ces deux déclarations entraînèrent un démenti d’Ehud Olmert, rappelant la position d’Israël sur le sujet : « Israël ne sera pas le premier pays à introduire l’arme nucléaire au Proche-Orient. C’était notre position, c’est notre position, cela restera notre position[69]. »

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Démographie

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Signalisation routière multilingue en hébreu, arabe et en caractères latins en Israël.
Article détaillé : Démographie d’Israël.

Israël a une population de 7 619 600 habitants au 30 juin 2010, parmi lesquels 76 % de Juifs (5 750 900 habitants) et 20 % d’Arabes israéliens (1 555 300 habitants) (principalement musulmans, mais aussi une minorité chrétienne), auxquels il faut ajouter 313 500 nouveaux immigrants qui sont enregistrés au Ministère de l’Intérieur comme « non-Juifs » et qui constituent 4 % de la population israélienne. Les travailleurs étrangers qui vivent en Israël ne sont pas inclus dans ces données et sont estimés à 150 000[70],[71].

La population israélienne croît régulièrement à un rythme annuel de 1,8 %/an depuis plusieurs années ce qui la situe bien au-dessus du taux de croissance américain ou européen[72].

Israël est le seul pays au monde avec une majorité juive. La population juive d’Israël est originaire du monde entier : on distingue les « sabras » (nés en Israël, de parents immigrés récents ou dont la famille vivait depuis des siècles en Palestine) des immigrés récents qui ont fait leur aliyah (« montée », c’est-à-dire retour : une grande partie vient de l’ancienne URSS, mais aussi de France, des États-Unis, d’Argentineetc.).

Israël comprend également des Druzes d’expression arabe, une communauté circassienne et une très petite communauté arménienne. Contrairement à la grande majorité des Arabes israéliens, les Druzes et les Circassiens ont choisi de ne pas être exemptés du service militaire[73],[74] ; il est à noter que de nombreux Arabes Bédouins[74] et certains autres Arabes chrétiens[75] et même musulmans[76], servent comme volontaires dans l’armée régulière.

Les nouveaux immigrants, arrivés en Israël en 2005, sont au nombre de 22 500, contre 22 000 l’année précédente. Parmi eux, 9 300 sont venus des ex-pays de l’Union soviétique, 3 700 d’Éthiopie, 3 000 de France, et 2 600 des États-Unis.

Répartition urbaine et rurale de la population
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Tel Aviv, la métropole israélienne.

45 % de la population d’Israël réside dans des villes de plus de 100 000 habitants, soit 3 100 000 personnes[77].

On compte en 2010 6 villes de plus de 200 000 habitants[77]. Plus d’un quart de la population du pays réside dans ces villes :

  • Jérusalem avec 773 000 habitants contre 84 000 en 1948 ;
  • Tel Aviv - cœur d’une métropole en forte croissance totalisant plus de 3,3 millions d’habitants, Tel Aviv compte 403 700 habitants, soit 5 % de la population globale d’Israël ;
  • Haïfa - troisième ville du pays, avec 265 600 habitants contre 98 600 en 1948. Tout comme Tel Aviv, son aire métropolitaine connaît une croissance importante : elle dépasse 1 million d’habitants ;
  • Rishon LeZion - quatrième ville du pays avec plus de 228 200 habitants (2009), alors qu’elle en comprenait 11 000 lors de la création de l’État d’Israël ;
  • Petah Tikva - ville située dans la banlieue est de Tel Aviv, elle compte désormais 209 600 habitants. Elle est le siège social du groupe pharmaceutique Teva, leader mondial dans le domaine du générique ;
  • Ashdod - Ville portuaire en très fort développement au sud de Tel Aviv 206 400 habitants.

Huit autres villes d’Israël ont des populations comprises entre 100 000 habitants et 200 000 habitants. La majorité d’entre elles sont des localités périphériques de Tel Aviv[78],[77] :

  • Beersheva, la capitale du sud d’Israël compte 194 300 habitants fin 2009. Elle est le noyau d’une agglomération de plus d’un demi million d’habitants.
  • Holon : 184 700 habitants
  • Netanya : 183 200 habitants
  • Bnei Brak : 154 400 habitants
  • Ramat Gan : 145 000 habitants
  • Bat Yam : 130 000 habitants
  • Rehovot : 112 700 habitants
  • Ashkelon : 111 900 habitants.

La population rurale représente 571 600 personnes de l’ensemble de la population israélienne (soit 8 %). Parmi elles, 118 000 personnes résident en kibboutz, soit 2 % de la population, alors qu’elles en constituaient 6 % de celle-ci en 1948. La croissance est très nette ces dernières années.[réf. souhaitée]

Répartition géographique de la population

Israël est divisé en 7 districts[72] (en hébreu : mehoz מחוז, au pluriel : mehozot מחוזות) :

Langues et Culture

Article détaillé : Catégorie:Culture israélienne.
Langues officielles

En plus des deux langues officielles, l’hébreu et l’arabe[79] (deux langues sémitiques), l’anglais écrit est souvent employé pour faciliter la vie des touristes, tandis que le russe est encore très largement utilisé par les immigrants venus récemment de l’ex-URSS. Il faut aussi ajouter que près d’un million d’Israéliens (près de 20 % de la population[80]) sont francophones parce que venus des anciens territoires français d’Afrique du Nord et malgré cela, Israël n’a jamais été admis dans l’organisation de la Francophonie[81] du fait de la menace de veto libanais en cas de dépôt de candidature[82].

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